Les constructeurs automobiles allemands de nouveau pris en faute

L’histoire se répète ! L’Union européenne a infligé au mois de juillet une amende de 875 millions d’euros à BMW et au groupe Volkswagen.

Pour se mériter cette amende salée, le groupe Volkswagen (Audi, Porsche et Volkswagen) et BMW ont comploté illégalement pour restreindre la compétition sur le marché de l’équipement destiné à rendre les moteurs diesel moins polluants.

Le groupe Daimler, qui est le sixième plus grand producteur automobile au monde, a également participé à l’entrave à la concurrence sur les systèmes de dépollution pour les nouvelles voitures diesel, mais puisqu’il a été le premier à coopérer entièrement avec les autorités, il s’est évité une amende de 727 millions d’euros.

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Fini, les voitures neuves à essence en 2035

Le Canada a devancé de cinq ans la date à laquelle son interdiction de vendre sur son territoire des voitures et des camions légers à essence. Les nouvelles réglementations entreront maintenant en vigueur en 2035 au lieu de 2040. 

Dans moins de 15 ans, toutes les automobiles vendues au pays devront être des véhicules à émission zéro (VEZ). Cette exigence comprendra les véhicules électriques, mais aussi ceux propulsés à l’hydrogène. 

L’annonce a été faite par le ministre fédéral du Transport Omar Alghabra, qui a également mentionné l’intention du Canada de développer des objectifs intérimaires pour 2025 et 2030. Pour les atteindre, le Canada planifie utiliser une combinaison de régulations et d’investissements. Le gouvernement continuera également d’assister financièrement ceux qui achètent des véhicules électriques.

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Les voitures de sport de luxe passent à l’électrique

Certaines marques de voitures mythiques évoquent la vitesse et des moteurs vrombissants. Eh bien, sachez qu’elles se convertissent toutes à l’électrique! Petit tour d’une industrie du luxe en pleine révolution.

Ferrari, Lotus, Mazerati… des noms qui ont fait rêver des générations d’adeptes de voitures de sport. On se régalait à voir et à entendre leur moteur, à évaluer leurs cylindrées, à admirer leurs performances sur circuit.

Autre temps, autres mœurs. À l’heure où tous les constructeurs automobiles sont invités par les gouvernements, d’une part, et par un public plus soucieux d’environnement, d’autre part, à électrifier leur production, les prestigieuses voitures de sport n’ont guère le choix, elles aussi, de passer à l’électrique. Voici donc un petit aperçu de cinq marques mythiques dont la transformation n’a pas fini de nous étonner.

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Quelle position occuper dans une entreprise selon votre signe astrologique ?

Comment est-ce que des traits de personnalités astrologiques peuvent nous amener à performer dans nos fonctions ? Voyons si vous vous retrouvez dans le bon rôle…

C’est maintenant bien connu, chaque signe astrologique présente son lot de caractéristiques qui le distinguent des autres. Par exemple, les béliers sont fonceurs, les sagittaires sont bavards et les scorpions sont intenses.

Au travail, il peut être difficile de savoir quelle fonction fonctionnerait le mieux avec notre personnalité. Parfois, les traits typiques de nos signes astrologiques nous caractérisent bien, ce qui nous amène à nous demander : y aurait-il un lien possible entre notre date de naissance et notre emploi idéal ?

Nous avons donc concocté une liste de positions au sein d’une entreprise associées à des signes qui seraient les plus susceptibles d’y briller. À noter que ce qui suit est à prendre avec un grain de sel. Vous pouvez être un bon comptable même si vous n’êtes pas Capricorne !

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Cinq manières de convaincre son employeur de rester en télétravail

Le télétravail est entré dans nos vies depuis le début de la pandémie, et nous y avons pris goût. Alors, quels arguments pouvons-nous donner à notre employeur pour continuer à télétravailler une fois que la crise sanitaire sera passée ?

Ah, le télétravail… Ce dernier nous a montré un monde dans lequel il n’était pas nécessaire d’embarquer dans une voiture ou le transport en commun tous les matins et soirs. Il a facilité nos vies et s’est ancré solidement dans nos habitudes. Mais avec la pandémie qui s’estompe lentement à l’horizon, le télétravail risque lui aussi de disparaître.

Serait-il toutefois possible de convaincre nos employeurs de rester en télétravail de façon permanente ? Quels seraient les meilleurs arguments pour y arriver ? En voici cinq.

1- L’intérêt de la formule de travail hybride

Selon une étude menée par Tania Saba et Gaëlle Cachat-Rosset, de la Chaire BMO en diversité et gouvernance de l’École de relations industrielles de l’Université de Montréal, 39% des gens aimeraient demeurer en télétravail à la fin de la pandémie. Par contre, les employés sont quasiment aussi nombreux (37%) à dire qu’ils n’envisagent pas du tout de continuer à travailler de chez eux. Puisque les deux parties s’équivalent, il serait pertinent de proposer un compromis et d’instaurer le télétravail à temps partiel au sein des entreprises. 

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