Changer de travail : mode d’emploi

Êtes-vous insatisfait ou malheureux dans votre poste actuel ? Alors changez-en intelligemment en suivant nos astuces!

Changer de travail, ça peut être stressant ou même angoissant… et c’est normal ! Si vous êtes en train de penser à le faire, certaines questions doivent vous trotter en tête: « Est-ce que je partirai vraiment pour mieux ? Est-ce que j’abandonnerai en chemin des possibilités d’avancement ou des avantages sociaux ? Est-ce que je regretterai mon choix par la suite ? Ou bien est-ce que je vais perdre en crédibilité dans mon milieu ? »

Rassurez-vous, vous n’êtes pas le seul à vous poser ces questions. Et rassurez-vous doublement, le marché de l’emploi est actuellement très favorable aux employés, car il y a des pénuries de travailleurs dans beaucoup de domaines d’activité au Québec. Un sondage mené en 2021 par le Centre canadien pour la mission de l’entreprise a d’ailleurs montré que 42 % des répondants songeaient à changer d’emploi ou de carrière dans la prochaine année. Même si ce chiffre était peut-être exagéré par l’incertitude et les questionnements provoqués par la pandémie de Covid-19, une autre étude menée par la firme Léger a confirmé cette tendance au changement, avec près du tiers des travailleurs âgés entre 18 et 34 ans (31%) tentés de remettre leur démission dans la prochaine année.

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Établir son plan de carrière en 3 étapes

Penser à court terme, c’est bien. Mais penser à long terme, c’est mieux ! Alors pour vous bâtir la carrière de vos rêves, voici comment passer à l’action. 

« On mène une carrière selon qui l’on est ou qui l’on aimerait être », a lancé en 2006 lors d’une entrevue l’actrice Charlotte Rampling. Une petite phrase qui peut résonner dans nos têtes, alors que nous sommes immanquablement amenés, à un moment ou à un autre, à faire des choix professionnels qui ont des impacts importants sur notre carrière et, par ricochet, sur notre vie personnelle.

On peut évidemment se laisser porter par la vague, en restant sagement dans une position rassurante, ou a contrario en sautant sur toutes les potentielles opportunités qui se présentent. Mais il s’agit dans les deux cas d’une arme à double tranchant. Dans le premier, on ne sera jamais vraiment épanoui dans son travail. Et dans le second, on se confrontera sans doute à des échecs qui freineront ou ruineront carrément ses ambitions.

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Le recrutement et la rétention des employés du secteur automobile à l’ère des avantages sociaux

Les avantages sociaux et accessoires sont devenus des outils aussi importants que le salaire pour attirer et garder des talents dans une entreprise. 

Les avantages sociaux ne constituent pas une nouvelle notion. Les congés payés et mobiles, les assurances santé et les régimes d’épargne-retraite, entre autres, sont proposées par des entreprises depuis longtemps. 

Toutefois, au sein d’un marché de l’emploi de plus en plus concurrentiel, tous les employeurs, quelle que soit la taille de leur société, doivent à présent en faire plus pour attirer des candidats et, surtout, pour les conserver dans leur équipe. Effectivement, un sondage mené récemment par la firme Robert Half conclut que 50 % des employés sont convaincus qu’ils pourraient trouver rapidement un nouvel emploi ailleurs.

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Encourager la réussite des femmes dans le secteur automobile

Au sein d’une industrie automobile encore masculine et conservatrice, Amélie Chevanel, directrice générale de deux concessions Kia, représente un modèle de réussite au féminin. Entretien avec cette battante.

Amélie Chevanel a le sourire chaleureux, l’énergie des leaders et le franc-parler issu de l’expérience. Il est donc impossible de deviner au premier abord ce par quoi est passée cette directrice générale à la tête des concessions Ville-Marie Kia, à Montréal, et Concept Kia, à Dorval, pour en arriver là.

Pourtant, comme beaucoup de femmes à des postes de direction, et plus encore dans le domaine automobile, Amélie a travaillé très dur pour concrétiser ses rêves. « J’ai réussi, car je suis une travailleuse acharnée et tenace », confie-t-elle.

De la ténacité, il lui en a effectivement fallu pour passer d’une chaîne de production dans le secteur manufacturier à la gestion de deux concessions automobiles. À commencer par un retour sur les bancs d’école à l’âge de 28 ans, avec deux enfants en prime. « J’ai quand même réussi à finir mon secondaire et à décrocher un diplôme en comptabilité au Cégep », raconte-t-elle. 

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