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Quelles sont les spécialités techniques, les technologies et les connaissances qui permettent de se distinguer professionnellement, quand on est mécanicien ou technicien automobile ?
L’industrie automobile évolue rapidement et fait face à plusieurs défis, notamment celui relatif à la main-d’œuvre. Afin d’être en adéquation avec les besoins du marché secondaire, qui englobe les ateliers de réparation et d’entretien, et qui représente quelque 100 000 emplois au Québec en 2025 selon La Presse, l’AIA Canadaa mené en 2023 une étude sur le marché du travail en collaboration avec EY analysis.
Plus de 360 personnes, dont 74 étudiants méritants, ont assisté au Gala annuel du Comité éducation travail en Équipement Motorisé du Montréal le 3 juin dernier dans le Vieux-Port de la métropole.
Se renouveler et se développer n’est pas donné à toutes les organisations. C’est néanmoins le cas du CETEMMM, qui réunit huit centres de formations professionnelles du Grand Montréal, ainsi que des partenaires de l’industrie dont Auto-jobs, puisqu’il accroît chaque année sa visibilité et son rôle clé d’intermédiaire entre les écoles et les entreprises qui emploient ensuite les nouveaux diplômés en mécanique, carrosserie, peinture industrielle ou service.
À titre de référence canadienne en matière d’emploi et de recrutement dans le secteur automobile, Auto-jobs.ca rencontrera les principaux acteurs de l’industrie les 19 et 20 mars, à Toronto.
Défis à l’échelle de l’industrie, tendances émergentes, opportunités, dernières technologies, meilleures pratiques et stratégies dans un marché en évolution rapide ; beaucoup de sujets seront à l’ordre du jour de la Conférence, sous forme de présentations, de panels et d’ateliers en petits groupes.
En signant un partenariat avec Auto-jobs.ca, le nouveau président exécutif de la Corporation des carrossiers professionnels du Québec met en avant une de ses priorités phares : attirer et recruter de la main-d’œuvre en carrosserie au Québec.
Depuis le mois d’août, Jonathan Pilon fait souffler un vent de renouveau dans le milieu de la carrosserie québécoise. Lui-même ancien carrossier, en plus d’avoir travaillé comme estimateur de dommages, ainsi qu’à titre de gestionnaire pour plusieurs compagnies d’assurances, il connaît très bien son domaine d’activités. C’est d’ailleurs ce qui l’a poussé à se porter candidat à la tête de la Corporation des carrossiers professionnels du Québec (CCPQ), qui doit faire face à plusieurs défis de taille.
« Depuis plus de 20 ans que j’évolue sans cette industrie, j’ai toujours été frappé par l’image du verre à moitié vide qui colle à la carrosserie, confie-t-il. C’est comme si ce corps de métier était l’enfant pauvre du Québec, sans reconnaissance, sans relève, sans intérêt auprès des jeunes. Et pourtant, il est en pleine évolution ! Nouveaux matériaux, véhicules électriques et intelligents, automatisation ; tout change rapidement dans ce domaine, même si c’est méconnu. »Poursuivre la lecture « CCPQ : Donner un nouveau souffle à la main-d’œuvre en carrosserie »→
Elle n’a que 20 ans, mais elle connaît déjà très bien les podiums et carbure depuis longtemps à la vitesse, au vrombissement du moteur et à l’odeur d’essence des bolides qu’elle conduit sur les pistes de course canadiennes et américaines. Rencontre avec Marie-Soleil Labelle, une pilote qui voit grand.
À première vue, Marie-Soleil Labelle a tout de la jeune universitaire. Elle est féminine, élancée, articulée, engagée dans un double baccalauréat en génie mécanique et en technologie de l’information à l’Université d’Ottawa.
Mais il ne faut pas se fier à cette première impression. Parce que Sunny, comme ses proches la surnomment, est une talentueuse et redoutable pilote qui s’est notamment classée, en 2022, au 2e rang de la Coupe Nissan Sentra en classe Micra, ainsi que 3e au Grand Prix du Canada. Un Grand Prix d’ailleurs remporté la même année et en 2024 par une autre femme, Valérie Limoges, dont Marie-Soleil Labelle semble suivre les traces… et compte bien les dépasser. Où le boudin noir est sacréPoursuivre la lecture « Marie-Soleil Labelle : les deux mains sur le volant »→