5 façons de calculer un budget en cybersécurité

Une entreprise automobile a-t-elle vraiment besoin de dépenser pour sa cybersécurité ? Et si c’est le cas, de combien d’argent parle-t-on au juste ? Voici cinq manières de calculer cet investissement.

Beaucoup d’entre nous sommes surpris quand nous apprenons que telle ou telle grande institution – ou même l’État – s’est fait pirater, alors même que ces structures déploient des mesures de sécurité importantes. Mais cela demeure assez flou jusqu’à ce qu’une situation similaire nous arrive à titre personnel ou au sein de notre propre entreprise. Eh oui, les menaces électroniques touchent tout le monde, et le secteur automobile n’y fait pas exception !

D’ailleurs, on l’ignore souvent, mais l’investissement en cybersécurité des entreprises se situe en moyenne entre 5,6% et 20% du total de leurs dépenses informatiques, selon un article publié sur le site de Maureen Data System (MDS), une entreprise de consultation en technologie. 

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3 trucs pour écrire sans faute d’orthographe

Même si on ne travaille pas en administration, écrire sans faute est un plus pour beaucoup d’emplois, y compris dans le secteur automobile. Voici nos meilleures astuces pour vous aider !

Ah, les vilaines fautes d’orthographe. On les hait, mais voilà, elles se glissent partout, des courriels aux bons de commande, et même dans les lettres officielles. Or, comme le secteur automobile est de plus en plus amené à dialoguer virtuellement avec ses clients comme ses fournisseurs, il vaut mieux éviter de multiplier les erreurs. Alors, quels sont les meilleurs trucs à avoir en tête et sous la main pour en laisser passer le moins possible ?

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Travailler 4 jours plutôt que 5… pour le même salaire!

Travailler moins et gagner autant, est-ce vraiment possible dans le domaine automobile ? Peut-être… et voici pourquoi !

En Islande, deux projets pilote ont démontré des effets positifs de la semaine de quatre jours sur la productivité et le bien-être des travailleurs. 

Entre 2014 et 2021, 2500 fonctionnaires municipaux et fédéraux ont en effet fait l’objet de deux études sur les effets d’une semaine de travail de quatre jours sans réduction de salaire, selon un article du Devoir. Et les résultats obtenus semblent sans équivoque : une plus grande productivité et une amélioration du bien-être.

C’est bien beau, tout ça, mais des fonctionnaires, ce n’est pas la même chose qu’un garage ou un concessionnaire gérant des mécaniciens et des vendeurs. Alors, quels seraient les avantages concrets de comprimer la semaine de travail en quatre jours dans le domaine automobile ?

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