L’employeur de la semaine : Pneus Varennes

Pneus Varennes veut vous chouchouter!

En contexte de pénurie de main-d’oeuvre, les garages redoublent d’efforts pour attirer les mécaniciens. Ceux de Pneus Varennes y sont pour rester. Ça vous tente?

Pas facile de trouver de bons mécaniciens en pénurie de main d’oeuvre! Parlez-en à Jean-Pierre Lavigne et Paul Péloquin, propriétaires du garage Pneus Varennes, qui pourtant ne lésinent pas sur le bien-être de leurs employés. 

Leur garage Pneus Varennes, membre du regroupement de Pneu Select et centre certifié Auto Value, a même gagné atelier de l’année Vast-Auto en 2007 et 2017 sur presque 100 bannières!

« On a vraiment une bonne façon de fonctionner », indique modestement Paul Péloquin, qui a tout de même de la misère à trouver un mécanicien… comme tous les garages au Québec.

Vous êtes mécanicien ou même apprenti? M. Péloquin nous a expliqué pourquoi ça vaudrait la peine d’envoyer votre CV à Pneus Varennes… et ce n’est pas juste une question de salaire (qui est très bon, soit dit en passant).

Comment ça a commencé, l’histoire de Pneus Varennes?

Ça fait 25 ans! On a ouvert en septembre 1995, et on était trois : Jean-Pierre Lavigne, mon père Maurice Péloquin, et moi. 

On a quatre mécaniciens normalement, deux hommes de service, un gérant d’atelier, et puis Jean-Pierre et moi s’occupons des client et de tout ce qui est administration.

Ça n’arrête jamais! (Rires)

Les affaires vont bien, alors?

Oui ça va super bien! Sérieusement, ça va très, très bien. Mais on est comme tout le monde, on a de la misère à trouver de la main d’oeuvre. C’est ça qui nous ralentit dans tous nos projets. 

Vous cherchez donc un mécanicien!

Apprenti ou mécano, on cherche la perle rare qui est dure à trouver! 

Tu appelles les fournisseurs de pièces pour trouver un mécano, avant ils cherchaient, maintenant je pense qu’ils reçoivent un coup de téléphone par jour pour savoir s’ils ont des mécaniciens disponibles ou s’ils connaissent quelqu’un! 

C’est fou partout! Ce n’est pas juste en mécanique, c’est dans plein de domaines. Un moment donné, je pense qu’on va frapper un mur…

Si vous aviez à décrire la personne qu’il vous faut, quel serait le mécanicien de vos rêves?

Nous autres, ça nous prend quelqu’un qui aime le métier, c’est sûr. Quelqu’un qui vient ici et qui est chialeux, on n’aime pas ça. On en a eu, on n’en veut plus.

C’est quelqu’un qui aime son métier et qui aime un bel environnement de travail. C’est un travail d’équipe. 

Comment est votre équipe, justement?

On a une équipe quand même assez jeune. La moyenne d’âge dans l’atelier, c’est de 40 ans. Nous, on est un petit plus vieux que ça! Mais on a bien du fun à travailler. L’ambiance est super bonne.

C’est sûr qu’on a des périodes de folie; la période des pneus c’est un peu plus fou, mais pour les mécaniciens c’est stable. On n’a jamais de temps mort. 

En ce moment, on travaille à trois mécaniciens, mais avec de l’ouvrage pour quatre. Un moment donné on va peut-être se ramasser avec du monde épuisé, et on ne veut pas ça non plus.

Quels avantages vous offrez à vos mécaniciens?

Au niveau salaire, ça varie. Ça commence à 18 $ de l’heure, mais c’est sûr que si le gars a de l’expérience ça va être beaucoup plus que ça. On a une assurance collective avec plein d’avantages aussi. Au niveau vraiment normal, ça serait ça les avantages. 

Le restant, c’est vraiment à travailler ici que les gens le découvrent au fur et à mesure. On est assez flexible. On est au courant aussi qu’au niveau de la main d’oeuvre, maintenant il faut les chouchouter, il faut les gâter. (Rires)

Ils ont les vêtements de travail, des manteaux, des petites choses comme ça au fil des ans. Les gars sont bien, ils sont vraiment bien traités. C’est rare que les mécanos partent.

Ah oui, ils restent chez vous?

Les gens qui rentrent ici sont là depuis des années. Un moment on allait dans les écoles pour offrir des stages, les gars venaient faire leur stage ici et ils restaient. On en a trois qu’on a trouvés comme ça au fil des ans. 

Idéalement, vous cherchez quelqu’un avec de l’expérience?

Exact, mais on n’est pas regardants. On est au courant du marché. On sait que ça risque d’être un jeune qui va avoir de l’expérience à acquérir, mais si le jeune est bon, qu’il aime son travail et qui est le fun à travailler avec, ça peut juste bien aller!

Vous voulez vous joindre à l’équipe? Cliquez ici!

  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •