Petits conseils pour prévenir l’épuisement professionnel

Le rythme effréné de la vie d’aujourd’hui transforme trop souvent l’expression « métro-boulot-dodo » en « boulot-boulot-boulot », le sommeil étant quasi devenu un luxe pour certains travailleurs. Il importe dès lors d’être toujours à l’affût des signes avant-coureurs d’épuisement professionnel, car le « mal du siècle » peut entraîner des conséquences néfastes tant sur le plan physique que mental d’un individu et avoir des impacts considérables sur une entreprise.epuisement_auto-jobs.ca

Parmi les trucs mis de l’avant, apprenez à bien travailler sans être débordé ou, en d’autres mots, établissez les priorités sans faire preuve d’excès de zèle. Fixez-vous des objectifs plus réalistes et plus gratifiants. Vrai qu’il est certes difficile de nos jours de décrocher du bureau avec tous les gadgets technologiques qui nous sont mis entre les mains, mais faites comme avec votre cerveau, mettez-les en mode veille!

Autre conseil, nous avons souvent l’énergie pour donner un petit effort supplémentaire par-ci par-là, mais les conséquences à long terme d’une course folle continuelle sont destructrices. Accordez-vous du temps pour prendre des pauses ou pour pratiquer vos loisirs et passions préférés seul, en famille ou entre amis. En fait, il s’agit simplement de retrouver l’équilibre entre vies privée et professionnelle!

L’étape ultime appartient toutefois aux employeurs. Ils doivent reconnaître que les bons employés ne sont pas dotés de ressources illimitées, qu’il est profitable, voire nécessaire, de répartir les tâches entre tous et, surtout, ne pas s’offusquer pour un « non » lorsque justifié, pertinent ou nécessaire. Il en va de la santé de l’employé,  mais aussi de l’entreprise.

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