Papoter au boulot : Oui, mais pas trop!

26195143_mLes discussions personnelles ou informelles au travail peuvent avoir des effets bénéfiques sur la productivité, en autant qu’elles ne deviennent pas des habitudes récurrentes et ne s’éternisent pas au-delà d’un certain délai. Où tracer la limite et comment gérer les «mémères» de service?

Tout le monde a connu au cours de sa carrière au moins un collègue scotché à longueur de journée à la machine à café ou au distributeur d’eau, sans compter celui qui fait le tour des postes de travail au quotidien pour raconter ses histoires et ses mille et un malheurs.

Sans bannir ce genre de discussions, essentielles au bon équilibre mental et au moral des troupes, il importe toutefois d’établir des règles claires et précises en termes de fréquence et de durée des pauses et les transmettre par la suite à tous les employés.

Une fois un cadre établi, il sera dès lors plus facile de ramener les fautifs à l’ordre. Soulevez le point en réunion d’équipe, envoyez un courriel commun de rappel ou affichez une note de service teintée d’humour aux endroits stratégiques dictant les attentes de l’entreprise. Si la tendance se maintient, les superviseurs devront convoquer des rencontres individuelles.

Attention toutefois de ne pas jouer à la police et en venir à une surveillance systématique, chronomètre à la main! En tant que gestionnaire, il faut s’assurer d’une productivité optimale, tout en faisant preuve d’indulgence et de flexibilité, ce qui nécessite un certain doigté.

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