Le conseiller en vente de la semaine : Christophe Tremblay, AutoFlash

« Il y a des endroits où l’on met beaucoup de pression sur les vendeurs, où ils sont laissés à eux-mêmes. Ce n’est vraiment pas comme ça ici! » lance le conseiller.

Avant de trouver son poste de conseiller en vente chez AutoFlash, Christophe Tremblay a travaillé chez cinq autres concessionnaires. Aujourd’hui, il est convaincu d’avoir trouvé le match parfait.

« Il y a des endroits où l’on met beaucoup de pression sur les vendeurs, où ils sont laissés à eux-mêmes. Ce n’est vraiment pas comme ça ici! » lance-t-il en riant.

Auto-jobs.ca a eu la chance de s’entretenir avec ce passionné de voitures.

Auto-jobs.ca : En quelques mots, pouvez-vous nous décrire l’entreprise où vous travaillez?

Christophe Tremblay : AutoFlash, c’est une entreprise familiale qui a ouvert ses portes en 1975. C’est une équipe super chaleureuse qui est composée d’une trentaine d’employés. Ici, tout le monde se connaît!

Ce qui est bien, c’est que nous sommes comme une grande famille. Tout le monde cherche à s’entraider! Par exemple, dans mon cas, le bureau du propriétaire, Adam Schrufer, est directement à côté du mien. Je n’hésite jamais à lui poser des questions.

Quels sont les avantages à travailler avec vous?

Dans d’autres concessionnaires, les conseillers travaillent environ 50 heures par semaine. Ici, on en travaille 10 de moins!

Sinon, quand on est conseiller, le salaire est très variable. Par exemple, l’hiver, il y a beaucoup moins de ventes que l’été, alors les conseillers subissent une grosse baisse de salaire. Ici, on nous permet de nous créer une banque d’argent, donc d’en mettre de côté, ce qui nous permet de recevoir des paies stables.

Quels atouts vos patrons recherchent-ils chez un conseiller en vente?

Premièrement, il faut qu’un conseiller en vente possède une grande confiance en lui. Il faut qu’il soit sûr lorsqu’il parle aux clients et fasse preuve d’un grand charisme.

Il faut aussi savoir que vendre, c’est écouter. C’est en écoutant ton client que tu sauras l’orienter dans l’achat d’un véhicule. Par ailleurs, il faut faire de l’autocritique, prendre des initiatives, et, surtout, aimer les voitures!

Moi, les véhicules, c’est ma passion. Je veux transmettre mon amour des automobiles à mes clients au quotidien.

Quelle est votre clientèle?

Je ne pense pas vraiment qu’on puisse l’identifier précisément, parce qu’on a une grande variété de véhicules, donc une grande variété de clients.

Selon leurs goûts, les clients peuvent payer entre 5 000 et 50 000 dollars, s’acheter une auto sport ou plus pratique! On a des automobiles différentes pour des gens différents.

Qu’est-ce qui vous distingue sur le marché?

Justement, je pense que c’est notre variété de véhicules. Il faut aussi dire que l’état dans lequel ils se trouvent est exceptionnel.

En plus, nos prix sont vraiment agressifs, ils sont généralement revus à la baisse trois fois par semaine!

Quels conseils donneriez-vous à un conseiller en vente qui débute dans le milieu?

Personnellement, quand j’ai commencé, je n’allais pas vers les gens. J’étais plutôt du type réservé. Puis, plus je parlais aux gens, plus je comprenais ce qu’ils recherchaient, plus j’étais à l’aise avec eux.

En fin de compte, ça prend de l’humilité. Il ne faut jamais croire qu’on est le meilleur, et plutôt vouloir s’améliorer de jour en jour.

Finalement, je pense qu’il faut rester soi-même. S’il y a tous types de clientèle, il y a certainement tous types de vendeurs!

Vous voulez vous joindre à Christophe et toute l’équipe d’AutoFlash? Visionnez leurs offres d’emploi ici.

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