VIDÉO Trouver un premier travail dans le secteur automobile : conseils d’un patron

Nous vous présentons Xavier Huberdeau, propriétaire du garage M Mécanique 360 à Laval.

Nous lui avons demandé ce qu’il trouve important quand il fait passer une entrevue à un nouveau talent du milieu. Les compétences, bien sûr, mais aussi et surtout la motivation et l’esprit d’équipe. Comme il le dit lui-même : « L’attitude avant l’aptitude ! » Un message simple et invitant pour toutes celles et ceux qui commencent leur carrière dans le secteur automobile.

L’étoile du mois Auto-jobs : François Valiquette, de la mécanique automobile à l’aéronautique

Nombreux sont les mécaniciens qui possèdent des parcours atypiques. Voici donc François Valiquette, monteur mécanique pour Pratt & Whitney et ancien mécanicien automobile.

François, comment êtes-vous passé de la mécanique automobile à aéronautique ?

Eh bien, je n’ai pas commencé par l’automobile, mais en soudure, une spécialité dans laquelle j’ai suivi une formation. Mais comme j’avais également un grand intérêt pour les voitures, les moteurs, les outils, etc., j’ai décidé d’entreprendre ensuite une formation en mécanique automobile. Après avoir gradué, j’ai travaillé chez un concessionnaire en tant que mécanicien. 

Malheureusement, le rythme de travail était très rapide et l’ambiance de travail ne me convenait pas. J’ai donc cherché un autre emploi et ai été engagé chez Novabus, un constructeur de bus électriques. C’est là qu’on m’a fait suivre une formation supplémentaire d’électricien. J’y ai passé trois ans avant d’être embauché par Pratt & Whitney, il y a de cela quelques mois. Je suis encore en train de suivre ma formation payée afin d’apprendre le métier de monteur mécanique spécialisé en aéronautique. 

Poursuivre la lecture « L’étoile du mois Auto-jobs : François Valiquette, de la mécanique automobile à l’aéronautique »

Comment négocier son salaire et ses conditions quand on est junior ?

Si vous venez d’entrer sur le marché du travail dans le secteur automobile, peut-être avez-vous du mal à déterminer votre valeur et à négocier vos conditions. Nous avons donc rencontré une experte en RH pour vous guider !

Intégrer le marché du travail, même en contexte de pénurie de main-d’œuvre, ce n’est pas toujours facile. On se pose plein de questions, on veut faire ses preuves et acquérir de l’expérience. Mais on veut aussi être pris au sérieux et ne pas se faire avoir. 

Selon une étude menée par l’agence Robert Half, seulement 33% des Canadiens avaient en 2019 négocié leurs conditions salariales suite à leur dernière offre d’emploi. De l’autre côté de la médaille, l’étude a aussi révélé que 65% des employeurs s’attendaient à ce que les candidats négocient leur salaire.

Poursuivre la lecture « Comment négocier son salaire et ses conditions quand on est junior ? »

L’étoile du mois Auto-jobs Marissa Spinola, mécanicienne

La passion des automobiles, Marissa Spinola, une jeune mécanicienne fraîchement diplômée du DEP en mécanique automobile qui œuvre actuellement chez Mitsubishi, l’a jusqu’au bout des ongles. Voici son témoignage !

Pourquoi avez-vous décidé d’entreprendre des études en mécanique automobile ?

J’ai grandi dans une famille de passionnés de voitures. Dès que mon père touchait à la sienne, j’accourais pour l’aider et voulais toujours en savoir plus. C’est donc un peu normal que je me sois intéressée très jeune à la mécanique. Je suis aussi très habile de mes mains. J’ai bâti moi-même tous les meubles de ma chambre et plusieurs autres dans la maison de mes parents. 

J’ai donc complété mes études secondaires, avant de m’inscrire au DEP en mécanique automobile. J’avais de très bonnes notes à l’école, mais le DEP m’a permis de faire ce que j’aime par-dessus tout : travailler sur des voitures !

Quels sont vos plans de carrière ?

Je suis entrée chez Mitsubishi en tant que mécanicienne cette année, après avoir terminé mes études. Pour l’instant, je prends de l’expérience et je réfléchis au futur de ma carrière. Par exemple, j’aimerais occuper le poste de cheffe technicienne dans un concessionnaire automobile, que ce soit ici chez Mitsubishi ou ailleurs. Ou bien aller chercher une certification en plus mécanique des moteurs diesels pour travailler dans le domaine de la mécanique de véhicules lourds. Poursuivre la lecture « L’étoile du mois Auto-jobs Marissa Spinola, mécanicienne »

L’étoile AJ du mois : Wilson Almeida, directeur de formation en mécanique automobile

Le travail lié à l’entretien et à la réparation de véhicules automobiles ne s’arrête pas du tout à celui des mécaniciens. D’autres opportunités professionnelles existent, comme celle de devenir formateur en mécanique automobile. Entretien avec Wilson Almeida, directeur de la formation en mécanique automobile chez Vast Auto Distribution.

À quoi le parcours d’un formateur en mécanique automobile ressemble-t-il ?

Il est différent pour chacun. Personnellement, j’ai toujours été passionné par l’enseignement, bien qu’au départ, j’ai travaillé pendant quelques années comme mécanicien en mécanique générale. C’est au cours de cette période que j’ai pu développer l’expertise requise pour devenir formateur. L’opportunité d’enseigner la mécanique s’est présentée lorsqu’un contact dans le milieu m’a demandé si je souhaitais devenir enseignant au diplôme d’étude professionnelle (DEP) dans une école de mécanique automobile. 

Par la suite, tout a déboulé. J’ai décidé de réorienter ma carrière pour me dédier à l’enseignement de la mécanique. Ensuite, on m’a offert un poste de direction en formation chez Vast Auto Distribution, et depuis, j’enseigne plusieurs disciplines partout à travers la province. 

Poursuivre la lecture « L’étoile AJ du mois : Wilson Almeida, directeur de formation en mécanique automobile »